11 mars, Journée de commémoration nationale en mémoire des victimes de la COVID-19, cela fait exactement un an que l’OMS déterminait qu’il y avait pandémie. Depuis un an, près de 10 500 décès dus à la COVID-19, seulement au Québec. Des victimes souvent décédées sans accompagnement. Des proches toujours en deuil qui ont vécu, et qui vivent encore, détresse, tristesse, anxiété et isolement. Des personnes en soins palliatifs affirment que, minimalement, ce sont dix personnes qui sont touchées par un seul décès… imaginons… Je saisis l’occasion pour remercier et souligner le courage et le dévouement du personnel de la santé. Toutes et tous sommes concernés par cette pandémie : pertes d’êtres chers, séquelles physiques et psychologiques, maladie non dépistée ou traitée à temps dû au délestage, pertes d’emploi, confinement conflictuel, vie sociale inexistante, finances réduites, personnes vulnérables particulièrement touchées, organismes d’aide débordés, etc. Des sacrifices démesurés. Enfin, ayons une pensée pour les personnes qui recevront un résultat positif à la COVID-19 aujourd’hui, et pour celles et ceux qui sont hospitalisés ou en fin de vie, et leurs proches.