Selon Statistique Canada, 1 Canadien sur 5 est touché, à chaque année, par un problème lié à la santé mentale, et ce, avant la pandémie. Depuis, ce serait 1 Canadien sur 3, toujours selon Statistique Canada. La pandémie de COVID-19 aurait amplifié la situation à ce point critique. Tous les groupes d’âge et classes sociales sont touchés ( qu’on pense à Jonathan Drouin ou Carey Price qui ont vécu des épisodes de trouble de santé mentale) et la situation actuelle accable particulièrement les personnes soignantes et les proches aidants. Personne n’est immunisé contre les risques de souffrir d’un trouble un jour ou l’autre.

𝗧𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀

La Journée mondiale de la santé mentale met en évidence qu’une bonne santé mentale est favorisée par de multiples facteurs. Nous ne pouvons attendre la fin de la pandémie de COVID-19 pour investir dans la prévention, dans le soutien et dans la mise en place des conditions pouvant favoriser la résilience. D’intérêt collectif, la santé mentale doit se voir accorder une place prépondérante par nos gouvernements et autres décideurs de notre société. Nos gouvernements doivent y accorder un engagement et des investissements majeurs.